Les 6 et 7 février 2025, la ville de Matoury a brillé au 6ᵉ Congrès National des Élus au Numérique, organisé à Saint-Raphaël. Cet événement d’envergure a réuni élus et experts afin d’échanger sur les enjeux du numérique au sein des collectivités.
Au cœur des débats : intelligence artificielle, gestion des données et inclusion numérique. La délégation matourienne a activement participé à des conférences et ateliers explorant des solutions innovantes pour améliorer les services municipaux, tout en mettant l’accent sur la sobriété numérique, une approche conciliant technologie et responsabilité écologique.
L’engagement de Matoury a été salué lors de la remise des labels « Villes Internet », récompensant ses 45 initiatives numériques. Cette distinction souligne les efforts déployés pour faire de Matoury un territoire connecté et inclusif, avec une attention particulière aux personnes âgées et en situation de handicap.
Sous l’impulsion du Maire Serge SMOCK, Matoury confirme ainsi sa volonté de bâtir une ville moderne et durable, où l’innovation numérique devient un levier d’inclusion et de progrès pour tous.
Le 3 février 2025, à l’initiative de la Première présidente de la cour d’appel de Cayenne, une délégation du tribunal administratif, conduite par son Président, M. Guiserix, a rencontré une délégation du tribunal de justiça do Estado do Amapá, présidée par M. Gomes de Carvalho. Cette rencontre, marquée par un esprit de coopération et d’échange, s’est tenue en présence de magistrats des deux pays.
Cette matinée a offert une occasion privilégiée de confronter les pratiques juridictionnelles françaises et brésiliennes, aussi bien en droit public qu’en droit privé. Les magistrats brésiliens ont présenté les spécificités du pouvoir judiciaire au Brésil et, plus particulièrement, celles de l’État fédéré de l’Amapá, voisin direct de la Guyane. Ce système, qui fusionne les compétences judiciaires et administratives, contraste avec l’organisation française, où ces deux ordres sont distincts. Les magistrats du tribunal administratif ont ainsi pu exposer les particularités de la justice administrative en France, favorisant une meilleure compréhension mutuelle.
Au-delà des aspects techniques, cette rencontre, orchestrée par la cour d’appel de Cayenne, a illustré l’importance de la coopération judiciaire franco-brésilienne et renforcé les liens entre ces territoires frontaliers. Un bel exemple de dialogue juridique au service d’une justice toujours plus éclairée et partagée.
Un séisme de magnitude 5,2 a frappé le nord du Maroc dans la nuit du lundi 10 février 2025, à 23h48, avec un épicentre situé à 15 km de Ksar El Kébir, dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, selon l’Institut National de Géophysique (ING).
Une secousse ressentie dans plusieurs grandes villes
Selon les données officielles, la profondeur du séisme était de 20 km, ce qui explique pourquoi il a été fortement ressenti dans plusieurs villes, notamment Rabat, Casablanca, Fès, Meknès, Kénitra, Larache, Tétouan et Chefchaouen. Des habitants de Sidi Kacem ont même quitté leurs domiciles par crainte de répliques.
Initialement, les sites spécialisés en sismologie avaient estimé la magnitude du séisme à 4,1, avant de la réévaluer successivement à 4,7, puis à 5,1, avant que l’ING ne confirme la mesure finale de 5,2.
Aucune perte humaine ou matérielle signalée
Malgré l’intensité de la secousse, aucun dégât ni blessé n’ont été signalés, comme l’a confirmé le président de la commune de Tatoft, dans la province de Larache.
Cet événement rappelle que le Maroc, situé sur une zone sismique active, reste exposé à ce type de phénomènes naturels, particulièrement dans le Rif et le nord du pays.
Lancée en octobre 2024, l’opération Kapalu (« massue » en Wayãpi) a frappé un grand coup contre l’orpaillage illégal dans le bassin de la Camopi, une zone reculée de près de 3 000 km² située au sud-est de la Guyane. En partie intégrée au Parc amazonien de Guyane, cette région est un sanctuaire naturel longtemps menacé par l’extraction aurifère clandestine.
Un résultat sans appel
Kapalu marque un tournant décisif :
En cinq ans, le nombre d’orpailleurs illégaux a chuté de 2 500-3 000 à seulement 300, répartis sur 30 chantiers.
Cette attrition est le fruit d’opérations répétées et de points de contrôle permanents, tenus par les forces armées et la Gendarmerie de Guyane.
La phase de destruction systématique, menée entre octobre et novembre 2024, a mobilisé plus de 150 militaires et gendarmes pendant six semaines, avec des patrouilles régulières pour éviter toute reprise des activités illégales.
Des pertes colossales pour les orpailleurs
L’opération s’est soldée par des saisies et destructions massives :
500 g d’or natif confisqués
23 pirogues et 26 moteurs hors-bord neutralisés
50 motopompes et 15 groupes électrogènes détruits
17 000 litres de carburant et 6 tonnes de nourriture saisies
Un préjudice estimé à plus de 3,5 millions d’euros pour les orpailleurs illégaux
Grâce à ces actions, le bassin de la Camopi ne représente plus que 3 % de l’orpaillage illégal en Guyane, contre plus de 20 % en 2019.
Un combat qui se poursuit
Le 28 janvier 2025, le premier comité stratégique de Lutte Contre l’Orpaillage Illégal (LCOI) a rassemblé les autorités locales pour dresser le bilan et envisager les prochaines étapes. L’objectif est clair : maintenir la pression et empêcher toute réinstallation des orpailleurs clandestins.
Avec des moyens renforcés et une volonté politique affichée, l’opération Kapalu s’inscrit comme un modèle de lutte efficace contre l’orpaillage illégal en Amazonie. 🌳🔥
Jean-Victor CASTOR et Davy RIMANE, députés de Guyane
Décret relatif au transport fluvial et à la navigation intérieure : dernier exemple de la gestion absurde de la Guyane par Paris!
Par communiqué en date du 28 janvier 2025, le préfet de la Guyane a annoncé la publication du décret n° 2025-50 du 15 janvier 2025 portant diverses dispositions relatives au transport fluvial et à la navigation intérieure, qui définit es conditions d’accès à la profession de transporteur fluvial en Guyane.
Alors que notre pays Guyane est totalement enclavé et qu’à la construction de routes, l’Etat préfère une « piste améliorée tracée par le génie militaire estimée à 320 millions d’euros avec 16 ans de travaux »
Alors que dans ces conditions, les seuls moyens de déplacement pour des milliers de guyanais sont les fleuves considérés par les lois françaises comme non navigables…. une étape supplémentaire de la gestion absurde de notre pays par Paris a été franchie en ce mois de janvier 2025.
Ainsi selon le chapitre V du décret n° 2025-50, les transporteurs fluviaux (même occasionnels) de Guyane devront dorénavant disposer dune « attestation de capacité professionnelle » délivrée par le préfet.
Pour obtenir cette attestation, les transporteurs fluviaux (même occasionnels) devront soit être titulaires d’un diplôme supérieur sur la gestion d’entreprise et/ou le transport fluvial, soit avoir été chef d’entreprise dans ce domaine pendant au moins 3 années consécutives, soit passer un examen pour apprécier leur capacité professionnelle dans le transport fluvial !!!
Bienvenue en absurdie ! Quel examen ? Quels diplômes ? Quels examinateurs ?
Nos fleuves seront-ils considérés comme navigables avec cette« attestation » ?
Nous dénonçons labsence de dialogue et le passage en force dans l’élaboration de ce décret. Les acteurs locaux, incluant les entreprises de transportfluvial, les associations de riverains et les élus du territoire, n’ont pas été invités à participer aux discussions préalables ni à donner leur avis sur les mesures proposées.
Ce décret élaboré sans une évaluation rigoureuse et une prise en compte des réalités culturelles et humaines locales, perturbera gravement tout un pan des activités humaines dans des parties importantes de notre territoire.
L’unique conséquence de ce décret sera de « couler » des entreprises guyanaises en favorisant l’installation d’entreprises hexagonales qui ne connaissent rien à la navigabilité de nos fleuves.
Nous demandons, à Messieurs REBSAMEN, VALLS et TABAROT de retirer immédiatement le chapitre V du décret 2025-50 du 15 janvier 2025, qui traite du cas de la Guyane et douvrir un dialogue transparent et constructif avec les principaux intéressés et les élus de Guyane pour élaborer des solutions adaptées qui répondent aux enjeux identifiés.
Hier, Marie-Laure Phinera-Horth la Sénatrice de la Guyane a participé à une réunion avec le Préfet et le Président de l’ Etablissement Français du Sang, concernant le retour de la collecte de sang en Guyane. cela fera 20 ans que la collecte de sang est interdite sur notre territoire à cause de la maladie de chagas.
Question de Mme PHINERA-HORTH Marie-Laure (Guyane – RDPI) publiée le 13/01/2022
Mme Marie-Laure Phinera-Horth attire l’attention de M. le ministre des solidarités et de la santé sur la nécessité de rétablir une politique de collecte de sang en Guyane. Depuis 2015, suite à la découverte d’une trentaine de cas de Chagas, la collecte de sang a été suspendue sur ce territoire qui est depuis lors dépendant du sang envoyé par avion depuis l’Hexagone. Or, depuis 2016, la Guyane dispose d’un laboratoire P3 qui est équipé pour dépister la maladie de Chagas. À titre d’exemple, le Brésil dépiste tous les donneurs grâce à des tests distribués par BioMérieux. Elle souhaite donc savoir si la reprise de collecte de sang est envisagée en Guyane.
Publiée dans le JO Sénat du 13/01/2022 – page 148
Réponse du Ministère auprès du ministre des solidarités et de la santé – Autonomie publiée le 16/02/2022
Réponse apportée en séance publique le 15/02/2022
M. le président. La parole est à Mme Marie-Laure Phinera-Horth, auteure de la question n° 2037, adressée à M. le ministre des solidarités et de la santé.
Mme Marie-Laure Phinera-Horth. Alors que l’Établissement français du sang fait état d’une situation très critique, avec des stocks extrêmement bas, les habitants de Guyane et de Mayotte, pour des raisons diverses, ne peuvent toujours pas donner leur sang.
Depuis avril 2005, un arrêté préfectoral a mis un terme à la collecte de sang sur le territoire guyanais en raison de la présence de la maladie de Chagas, laquelle pose un véritable problème de santé publique sur le continent sud-américain et en Amérique latine, où 15 à 20 millions de personnes sont infectées.
Entre janvier 1990 et mars 2005, quinze cas humains de la maladie de Chagas ont été diagnostiqués, dont six aigus, en Guyane. C’est néanmoins sur cette base que la préfecture a décidé de mettre un terme à la collecte de sang sur le territoire.
Une étude du Haut Conseil de la santé publique de mars dernier indiquait que la maladie de Chagas « a été très rarement notifiée chez des cas humains en Guyane » et que « cette parasitose ne constitue pas un problème de santé publique en Guyane ».
Plus de quinze ans après l’arrêt de la collecte de sang, d’importants progrès ont été réalisés en matière de détection de la maladie de Chagas. La transmission par transfusion sanguine peut désormais être évitée par un dépistage systématique des dons de sang.
La Guyane, grâce à l’Institut Pasteur, dispose depuis 2016 d’un laboratoire P3+ capable d’identifier les virus à l’origine de syndromes cliniques graves, comme la maladie de Chagas.
Ce dépistage est aujourd’hui pratiqué dans de nombreux pays, notamment aux États-Unis, au Japon et au Brésil, où 100 % des donneurs de sang sont ainsi dépistés depuis 1995.
Madame la ministre, je sais votre gouvernement favorable à une égalité de traitement des citoyens sur l’ensemble du territoire national. Aussi, pouvez-vous m’indiquer quels leviers vous comptez mettre en place pour restaurer une véritable politique de collecte de sang en Guyane ?
M. le président. La parole est à Mme la ministre déléguée.
Mme Brigitte Bourguignon, ministre déléguée auprès du ministre des solidarités et de la santé, chargée de l’autonomie. Madame la sénatrice Phinera-Horth, la reprise de la collecte de sang en Guyane présenterait l’avantage de reconstituer un pool disponible localement, tout en renforçant à l’échelle nationale un vivier de donneurs de phénotypes sous-représentés dans la population courante des donneurs de sang. Cela nous permettrait également de mieux répondre aux besoins transfusionnels des receveurs, notamment dans les Antilles.
Pour envisager cette reprise, la direction générale de la santé (DGS) a demandé à Santé publique France de réaliser une analyse de la situation épidémiologique dans ce territoire. Cette étude, réalisée en août 2021, montre que la Guyane reste particulièrement exposée à des risques infectieux pouvant affecter la sécurité transfusionnelle. Elle cite notamment le VIH, le HTLV, la dengue et le virus de l’hépatite B. Pour ce seul dernier virus, on peut craindre une perte de 5 % des poches de sang, ce qui n’est pas anecdotique.
De plus, conformément aux critères de sélection des donneurs de sang, les donneurs ayant séjourné en Amérique latine ou de retour de zones endémiques présentant des risques de maladie de Chagas peuvent également faire l’objet de contre-indications pour ces raisons de santé publique.
Par ailleurs, la Guyane est particulièrement touchée par l’émergence d’arboviroses en raison de la présence de vecteurs, d’un climat tropical et d’une proximité géographique avec les zones endémiques.
Ce territoire comptait 294 146 habitants au 1er janvier 2021. Selon ce chiffre, et compte tenu de la structuration de la population par tranches d’âge, il pourrait être attendu une collecte d’environ 7 000 dons par an, sans préjuger la perte de dons liés à la présence d’agents infectieux. Cela n’est donc pas négligeable, tant s’en faut, mais nous privilégions la sécurité sanitaire pour l’instant.
Ce territoire reste particulièrement vulnérable aux risques infectieux pouvant affecter la sécurité transfusionnelle. Il est également menacé par les épidémies d’arbovirus, ce qui justifie en soi une mise en uvre et une adaptation agile de mesures de prévention comme le dépistage génomique viral, voire l’arrêt total de la collecte. Au regard de ces éléments, la reprise de la collecte en Guyane apparaît risquée ; elle n’est donc pas à l’ordre du jour.
M. le président. Il faut conclure, madame la ministre déléguée.
Mme Brigitte Bourguignon, ministre déléguée. Bien évidemment, elle reprendra dès que les conditions épidémiologiques, qui font l’objet d’un suivi régulier, seront réunies.
Publiée dans le JO Sénat du 16/02/2022 – page 1682
La sécurité en Guyane a atteint un niveau critique en 2024, marqué par une flambée alarmante des violences par arme à feu. Selon le bilan dressé par la préfecture, 60 % des 49 homicides recensés ont été commis avec une arme à feu.
Une circulation massive des armes
Les saisies d’armes ont explosé en 2024, avec 528 armes confisquées, soit une augmentation de 50 % par rapport à l’année précédente. Ce chiffre révèle une présence massive d’armes sur le territoire, alimentée en partie par le trafic transfrontalier, notamment avec le Suriname.
Des vols à main armée en hausse vertigineuse
Autre indicateur de cette insécurité croissante : les vols à main armée, dont le taux est vingt fois supérieur à la moyenne nationale. La plupart de ces agressions se produisent sur la voie publique et visent des objets de valeur facilement revendables, tels que les chaînes en or, les scooters et les téléphones portables. Cette insécurité constante affecte lourdement le quotidien des Guyanais, contraints d’adopter des mesures de précaution face à un climat de violence quasi-permanent.
Une riposte des autorités
Parmi les mesures annoncées figurent la création de nouvelles brigades de gendarmerie à Roura et Montsinéry-Tonnegrande, ainsi qu’une brigade fluviale à Saint-Georges de l’Oyapock. L’objectif est clair : entraver la diffusion des armes et restaurer un climat de sécurité.
Si ces actions sont essentielles, elles ne suffiront pas à elles seules à enrayer la spirale de la violence. Une approche plus globale, incluant des actions de prévention, de sensibilisation et un renforcement du tissu social, sera nécessaire pour espérer un réel changement. La Guyane est à la croisée des chemins : sans une réponse forte et coordonnée, l’insécurité risque de devenir une fatalité.
Édouard Philippe, ancien Premier ministre et président du parti Horizons, a effectué une visite en Guyane française du 4 au 7 février 2025
Une immersion au cœur des préoccupations guyanaises
Durant son séjour, Édouard Philippe a abordé plusieurs thématiques essentielles pour l’avenir de la Guyane :
✅ Développement économique et emploi : Il a échangé avec des entrepreneurs et des représentants locaux sur les leviers de croissance et les opportunités pour dynamiser l’économie guyanaise.
✅ Avenir de la jeunesse : L’éducation, la formation professionnelle et l’accès à l’emploi ont été au cœur des discussions avec les associations et les institutions locales.
✅ Infrastructures et désenclavement : L’amélioration des réseaux de transport et des infrastructures de communication a été évoquée comme une priorité pour le développement du territoire.
✅ Sécurité et immigration : Face aux préoccupations des habitants, il a abordé les problématiques de sécurité et de maîtrise des flux migratoires, des sujets particulièrement sensibles en Guyane.
✅ Préservation des ressources naturelles : Il a également discuté des enjeux environnementaux et des défis liés à l’exploitation des ressources du territoire.
✅ L’avenir institutionnel de la Guyane : La question du statut du territoire et de ses relations avec l’État a été soulevée, reflétant les aspirations de certains élus à une plus grande autonomie.
Un programme chargé entre rencontres et échanges
Au fil de sa visite, Édouard Philippe s’est rendu dans plusieurs communes, dont Cayenne, Kourou, Sinnamary, Mana et Saint-Laurent du Maroni. Il a multiplié les échanges avec les élus, les associations et les citoyens pour mieux comprendre les réalités locales et proposer des pistes de réflexion adaptées.
Un voyage à dimension présidentielle ?
Ce déplacement intervient alors que l’ancien Premier ministre s’inscrit progressivement dans une démarche nationale en vue de l’élection présidentielle de 2027. En se rendant en Guyane, il cherche à renforcer sa présence sur le terrain et à affiner sa vision des défis ultramarins, souvent sous-estimés dans le débat politique métropolitain.
Si cette visite a permis de prendre le pouls de la Guyane, reste à voir si les échanges déboucheront sur des engagements concrets pour le territoire.
L’emblématique Ibis du rond-point à l’entrée de Sinnamary a encore été victime d’un accident… ou plutôt d’un véritable sabotage. Un automobiliste a percuté et détruit les statues avant de prendre la fuite , un acte malheureusement trop fréquent.
L’incivisme, la vitesse excessive, l’absence de signalisation et les conditions météorologiques sont autant de facteurs qui mettent régulièrement en danger ce symbole fort de notre commune. Jusqu’à quand devrons-nous subir ces atteintes à notre patrimoine ?
Michel-Ange Jérémie, le maire de Sinnamary, appelle à la responsabilité de chacun pour respecter notre patrimoine et assurer la sécurité de tous. Toute personne ayant été témoin de l’accident est invitée à se manifester.
La compagnie aérienne Sky High a annoncé l’arrêt de sa liaison entre Cayenne et Saint-Domingue à compter de mars prochain.
L’annonce de cette suppression a provoqué une véritable onde de choc parmi les acteurs du tourisme et des agences de voyages en Guyane.
Sky High Aviation Services S.A., également connue sous le nom de SKYhigh Dominicana, est une compagnie aérienne basée en République dominicaine. Fondée en 2012, elle opère principalement des vols réguliers et charters vers diverses destinations dans les Caraïbes, ainsi que vers les États-Unis et l’Amérique du Sud.
Le hub principal de la compagnie est l’aéroport international Las Américas à Santo Domingo. Sa flotte, composée de 9 appareils, comprend des Embraer 175 et 190, ainsi que des Boeing 737-300SF et 737-400SF pour le transport de fret.
Parmi les destinations desservies par SKYhigh Dominicana figurent des villes telles que Miami, San Juan, Aguadilla, Aruba, La Havane, Fort-de-France, Pointe-à-Pitre et Cayenne.
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